Les réformes en cours des études médicales, l’intégration des études paramédicales, la pandémie actuelle, la crise du financement de la recherche, les évolutions du numérique…tout nous pousse à faire évoluer nos outils pour nous adapter en permanence. Ces élections pour le renouvellement des membres élus du conseil de Faculté sont l’occasion d’opter pour un nouveau mode de fonctionnement du Conseil et de la vie de notre UFR.
Une stratégie Recherche collaborative au sein de notre UFR doit s’élaborer et s’écrire avec tous les acteurs au sein d’une commission recherche qui se réunit très régulièrement, et qui diffuse ses comptes rendus et un plan d’action à la communauté. Les financements sont importants pour nos chercheurs ; aidons-les en mettant en place un système organisé de diffusion et d’aides de réponse des appels à projets. Les collaborations sont à simplifier ; élaborons une mise en contact des équipes de recherche et de soignants. Les étudiants de santé pourraient faire un stage obligatoire en laboratoire de recherche durant leur cursus, ce qui pourrait susciter des vocations de chercheurs ou des carrières hospitalo-universitaires.
Une vraie campagne Patrimoine intégrative au sein de notre UFR devra se construire en fonction des besoins de tous qui doivent être évalués. Une commission indépendante doit pouvoir attribuer les locaux adéquats aux différents départements, instituts, écoles, composantes et à l’administration au sein du nouveau campus. Le plan Campus doit être présenté régulièrement ainsi que l’avancée des travaux et financements obtenus et dans le respect d’un développement durable.
Des outils Numériques modernes sont à développer et à mettre à disposition de nos enseignants-chercheurs par un support unique plus étoffé et réactif. Nous avons un besoin crucial d’informaticiens, de plateformes participatives, de studios d’enregistrement. Un site internet moderne avec les informations mises à jour semble crucial.
Une stratégie d’ Enseignement globale doit s’accélérer avec la création de vraies entités de réflexion comme un département Licence Santé, un département Masters… Les stages intégrés doivent être plus nombreux et proposés aux étudiants sur toute la durée du 2ème cycle. Nous proposons que chaque étudiant ait un référent pédagogique tout au long de son cursus, et que l’unité de simulation pour faire face à la R3C ait des fonds pour investir en temps humain et en matériel pédagogique. La FMC doit couvrir des besoins pédagogiques scientifiques et être valorisée pour les enseignants. La politique de simplification et d’homogénéisation des comptes pédagogiques est à poursuivre.
Une politique Territoriale forte pourra être menée par l’UFR en poursuivant le virage « ambulatoire », en développant les terrains de stage et la formation des maîtres de stage, aussi bien dans le public que dans le privé avec harmonisation des enseignements.
Un dialogue constructif devra s’amplifier avec le CHU et les CH concernant l’innovation, la formation aux nouvelles technologies appliquées aux soins, la qualité de vie des étudiants et soignants.
Conformément à nos valeurs démocratiques, toutes ces orientations stratégiques pour notre UFR seront issues d’un pilotage collectif et collégial. A la vue des enjeux futurs, les plans d’actions doivent élaborés et mis en application selon un principe participatif et de transparence, en concertation avec tous étudiants, chercheurs, BIATSS, hospitalo-universitaires…
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